Étude histologique 

La résistance à la fatigue de nos implants est la plus avancée à ce jour grâce aux fibres libres, notamment sur le Z-lig, quinpossède encore 90% de sa résistance initiale après 12 millions de cycles effectués.

En effet, les fibres libres sont notamment faites pour résister aux mouvements de flexion, tension et surtout torsion.

Mais ce n’est pas tout, l’architecture très poreuse des fibres libres apporte un autre avantage : elles sont colonisées par les fibroblastes, et permette la création et le développement d’un neo collagène au sein même de celles-ci.

Les images ci-dessous sont des coupes d’une étude histologique réalisée 1 an après chirurgie sur un chien (coupe transversale et coupe longitundinale).

Il est clairement visible que les fibres libres sont un environnement propice à l’envahissement fibroblastique, initiateur de la régénération du ligament natif (lorsqu’un résidu existe et qu’il est conservé).

Il en est de même avec le L-ten, dont les fibres libres doivent être placées au niveau de la zone de rupture pour permettre une régénération du tendon rompu.

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